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Look éthique // Tagada Tagada

look éthique mae sue

Ce titre n’a en fait qu’une seule vocation : vous donner le tempo ! ll faut imaginer les sabots de quatre chevaux frappant le sol sec de l’Ouest américain sur fond de coups de revolver et de hurlements de coyotes. Tagada Tagada voilà les Dalton

Je crois qu’avec une combinaison pareille, il faut assumer dès le départ les analogies qui pourraient être faites. Je me demande d’ailleurs s’il vaut mieux laisser penser que je me suis évadée de prison ou que je suis sortie dans la rue en pyjama.

Bah ! Les autres pourront bien dire ce qu’ils veulent de cette combinaison, moi je l’adore. Elle est d’un confort absolu et tellement légère qu’elle m’a permis de vivre avec délice les fortes chaleurs de ces derniers jours. Elle est aussi, vous vous en doutez, respectueuse de ce que je défends. Elle est fabriquée en Inde de façon équitable et est composée entièrement de coton biologique. Elle vient de la marque espagnole Thinking Mu qui tâche de proposer une mode plus responsable à des prix abordables.

Je l’ai dénichée sur la boutique en ligne Mae Sue, une plateforme de vente dédiée à la mode éthique. L’ensemble des pièces qui y sont vendues sont fabriquées en grande majorité en Asie selon les règles du commerce équitable, ce qui permet à ceux qui sont en général un peu frileux niveau budget de se lancer ! Une grande attention est aussi apportée au choix des matières et aux méthodes de production choisies.

look éthique mae sue

Pour parfaire la tenue, j’ai même choisi ce petit sac beaucoup trop mignon fabriqué en Inde de façon équitable. Il a été conçu par une organisation indienne rassemblant plus de 5 000 artisans, en collaboration avec Artisans du Monde. Cette organisation a avant tout pour but d’apporter un soutien technique aux populations sur place pour protéger leurs savoir-faire et les mener à l’indépendance par le développement de micro-entreprises (avec des formations en comptabilité ou en droit par exemple).

J’ai toujours beaucoup aimé l’engagement d’Artisans du Monde. Un engagement inspiré par un grand homme, l’Abbé Pierre ! Tout comme Emmaüs d’ailleurs… Et devinez quoi ? Ces deux belles organisations à but non lucratif se rassemblent par l’intermédiaire de la boutique en ligne solidaire et responsable d’Emmaüs qui propose habituellement toute sorte de produits chinés. On peut ainsi y retrouver depuis juin dernier des produits artisanaux du monde entier ! Allez y faire un tour, il y a de quoi dénicher de petites merveilles !

En attendant, je reprends les rênes de mon canasson et pars explorer les contrées désertiques des plaines du Far West ! Allez, huh !

look éthique mae sue


Combinaison Thinking Mu, 100% coton bio, fabriquée en Inde selon les règles du commerce équitable ; Sac Artisans du monde, jute et simili-cuir, fabriqué en Inde selon les règles du commerce équitable ; Chaussures Panafrica, tissu équitable & vegan, fabriquées au Maroc


look éthique mae sue

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Soleil & Crème solaire bio

choisir creme solaire bio

L’été bat son plein et avec lui les sorties piscine, les randos et les déjeuners en terrasse. Vous avez déjà commencé à exposer vos gambettes et peut-être même à attraper les premiers coups de soleil. Si vous n’oubliez jamais vos lunettes, vous haussez souvent les épaules en pensant au vieux tube de crème solaire que vous aviez glissé dans votre sac « au cas où ».

Malgré tout ce que les médias rabâchent, la protection solaire est toujours un peu traitée avec désinvolture. J’ai moi-même, et à plusieurs reprises, fait preuve d’imprudence avec le soleil. Je connais pourtant les enjeux, et même plutôt bien. La démarche est encore plus difficile lorsque l’on s’intéresse aux cosmétiques naturels et bio. Ceux qui s’y seront essayés connaissent les rendus blancs et plâtrés des crèmes solaires bio, qui empêchent la peau de respirer et confèrent un air de yéti en liquéfaction à quiconque tente de se baigner avec.

Ça colle, c’est blanc, ça ne sent pas toujours le monoï, ça ne s’étale pas bien… Et puis on lit que le soleil est bénéfique pour la santé. Alors que faire ?

Je voudrais dans cet article – qui s’annonce long comme le monde, j’en conviens – vous rappeler le juste équilibre entre fuir le soleil et s’exposer des heures durant. Vous expliquer comment choisir votre crème solaire et l’importance de la choisir bio. Et puis vous parler de quelques crèmes qui m’ont beaucoup plu ces dernières années, histoire que, plus jamais, vous ne ressembliez à un yéti mouillé.

Le juste équilibre 

Dès que l’hiver prend fin et que le soleil revient, vous ressentez le besoin de vous asseoir sur un banc baigné de lumière et de fermer les yeux. Vous sentez que le soleil vous fait du bien. C’est normal, c’est en partie le cas !

La vitamine D est essentielle à notre organisme, elle favorise l’absorption du calcium et du phosphore et participe ainsi à la consolidation des os, à la constitution de dents solides, et au renforcement musculaire. Elle rendrait même plus heureux et permettrait de lutter contre la déprime (vous l’avez déjà démontré par l’expérience, j’en suis sûre) ! Et, surprise, le seul véritable moyen de se procurer naturellement de la vitamine D est de se mettre au soleil. Par l’action des UVB, notre organisme se met en effet à produire cette fameuse vitamine soleil ! Pas besoin d’y rester toute la journée cependant, 15 minutes d’exposition chaque jour avec les manches relevées suffisent en été.

choisir creme solaire bio

Plus de 80% des français présentent une carence en vitamine D les mois d’hiver. On est effectivement plutôt bien protégés des ultraviolets pendant cette période : déplacements restreints à l’extérieur, gros manteaux et écharpes enroulées jusqu’aux oreilles. Certains choisissent alors de se complémenter en vitamine D par voie orale, d’autres attendent patiemment que le printemps revienne pour relever leurs manches.

Le soleil n’est donc pas à fuir absolument, il joue même un rôle important pour une santé de fer et un corps plein d’énergie. Mais attention à ne pas en abuser

Plus le soleil est haut dans le ciel, plus le rayonnement ultraviolet est important. À l’inverse, il n’y a plus d’UV lorsque le soleil est couché. En France, c’est entre midi et 16h que les rayonnements ultraviolets sont les plus forts, mieux vaut se tenir éloigné du soleil à ce moment-là.

Petit rappel de physique

Pour mieux comprendre comment tout cela fonctionne, revenons aux basiques… Les ultraviolets, ou UV, d’abord. Il s’agit de rayonnements lumineux de longueurs d’ondes inférieures à 400 nm, c’est-à-dire inférieures à celles de la lumière visible. Or, plus une longueur d’onde est petite, plus le rayonnement est énergétique. Les UV sont donc invisibles et très puissants.

Ils sont de 3 sortes : les UVA, les UVB et les UVC. Plus on avance dans l’alphabet, plus la longueur d’onde est petite (et donc plus le rayonnement est énergétique). Les UVC aux longueurs d’ondes les plus courtes sont stoppés par la couche d’ozone. Seuls les UVB et les UVA arrivent jusqu’à nous. Ils ont la possibilité d’aller commettre des dommages au plus profond de nous, au cœur de nos cellules. Chacun a sa manière de procéder…

Les UVB sont responsables des coups de soleil, cette réaction inflammatoire de la peau liée à une exposition abusive. Et, information d’importance : ils ne permettent pas de bronzer (ça, c’est l’apanage des UVA) ! Très énergétiques, ils commettent des lésions sur l’ADN que nous sommes en capacité de réparer dans la limite de notre fameux « capital soleil ». Une lésion non réparée débouche sur un cancer de la peau.

Les UVA, quant à eux, provoquent l’apparition de radicaux libres qui entraînent le vieillissement cellulaire et donc de la peau. Ils sont eux aussi potentiellement cancérigènes.

Comment choisir sa crème solaire ?

Les crèmes solaires permettent de filtrer essentiellement les UVB et uniquement une partie des UVA. Comprendre : une crème solaire, même 50+, ne vous permet pas de rester étendue comme une morue sur la plage entre midi et 14h ! Chacun fait bien ce qu’il veut d’ailleurs mais je crois très fort en ma phrase : rien ne vaut la connaissance pour agir en conscience !

Et en ce qui concerne le choix de l’indice de protection UV (SPF) pour sa crème solaire, là-aussi, il y a de quoi en apprendre ! Un indice 30 indique que la crème en question laisse pénétrer les UVB à hauteur de 1/30, c’est dire 3% environ. On retient donc qu’une crème indice 30 empêche 97% des UVB de pénétrer dans notre épiderme (sous réserve, bien sûr, d’une application en couche suffisante et régulière).

De même, un indice 20 laissera pénétrer les UVB à hauteur de 1/20 = 5%, soit 95% de protection. Et un indice 50 laissera pénétrer à 1/50 = 2%, soit 98% de protection. Voilà pourquoi on ne trouve pas en France d’indices supérieurs à 50+ : les 2% de protection restants sont impossibles à garantir !

Pour une exposition raisonnable dans des conditions normales, un indice 30 est donc tout à fait suffisant. Pour des peaux très claires ou intolérantes au soleil, ou dans des conditions d’expositions extrêmes (durée d’exposition, index UV particulièrement important comme au niveau de l’équateur ou en altitude par exemple), mieux vaut opter pour le maximum de protection.

creme solaire bio

Pourquoi choisir une protection solaire bio

Voilà plusieurs années que je choisis mes crèmes solaires en bio, et dire que cela a toujours été une partie de plaisir reviendrait à mentir ! J’en ai essayé des vertes et des pas mûres, et suis passée par toutes les frustrations et déconvenues du monde. Un calvaire…

Pourtant, rien n’aurait pu me faire revenir aux crèmes solaires conventionnelles. Trois raisons principales à cela :

1. Les filtres chimiques

Dans la famille des crèmes solaires, il y a deux grandes écoles : les filtres de synthèse chimiques et les filtres minéraux (100% des crèmes solaires bio). Les premiers ont la fâcheuse réputation de contenir des perturbateurs endocriniens (réputation d’ailleurs alimentée par de nombreuses études scientifiques sur le sujet). Ces filtres chimiques sont également la cause de nombreux dégâts sur l’environnement et mettent notamment en danger les récifs de coraux du monde entier. Une baignade dans la mer ou dans un lac, ou même une simple douche, contribuent à répandre ces composés chimiques décriés dans les eaux.

Les filtres chimiques à éviter absolument pour leurs interférences avec le système hormonal et la pollution des eaux sont le Ethylhexyl Methoxycinnamate, Benzophenone-3 et -4 et Methylbenzylidene Camphor. Prenez l’habitude de décrypter la liste INCI de vos produits de beauté, elle est souvent pleine de surprises !

2. Autres composants chimiques dangereux

Les produits solaires conventionnels contiennent, en plus des filtres UV, d’autres composants chimiques comme des additifs ou des conservateurs, connus pour leur dangerosité. Le Triethanolamine par exemple, est susceptible de développer des nitrosamines (substances cancérigènes)[1].

Ces composants chimiques additionnels représentent aussi de sérieuses menaces pour l’environnement. L’EDTA, par exemple, est un acide complexe contenant des métaux lourds qui, sous certaines conditions, peuvent se fixer à l’organisme et devenir difficilement biodégradables. Les silicones (comme le fameux Dimethicone), qui confèrent à la crème une texture veloutée, sont eux aussi d’importants polluants.

3. Le problème des nanoparticules

Les nanoparticules font de plus en plus parler d’elles. Elles ont la particularité d’être tellement petites (inférieures à 100 nm) qu’elles peuvent traverser la membrane cellulaire, et ainsi se frayer un chemin jusqu’au plus profond de nous. Les nanoparticules sont la spécialité des filtres minéraux qui agissent à l’aide du dioxyde de titane ou du dioxyde de zinc. Utiliser ces composés sous forme de nanoparticules permet une meilleure absorption de la peau, atténue la couleur blanche et assure une jolie texture bien nette et brillante à la crème.

Si le recul n’est aujourd’hui pas suffisant pour connaître les effets des nanoparticules sur nos organismes, les scientifiques tirent la sonnette d’alarme depuis déjà plusieurs années. On les retrouve partout : dans notre alimentation, dans nos cosmétiques, dans les peintures. Partout. Alors avant que le scandale éclate, autant savoir à quoi s’attendre.

La réglementation bio ECOCERT interdit la présence de particules inférieures à 100 nm donc on pourrait s’estimer sauvés. Erreur : elle fait une petite entorse pour les produits solaires ! Le label ECOCERT ne permet donc pas de s’assurer de leur absence. Le label Nature et Progrès permet cependant de s’en assurer, le label anglais Soil Association également.

Toutefois, lorsque l’on s’intéresse de près aux problématiques des nanoparticules dans les crèmes solaires certifiées bio, on s’aperçoit que les écrans minéraux (aka le dioxyde de titane et le dioxyde de zinc) sont quasiment systématiquement enrobés et agglomérés dans les formules, ce qui augmente le diamètre de ces particules. Les écrans minéraux ne sont donc plus, dans la plupart des formulations, dans un état “nano”.

choisir creme solaire bio

De super protections solaires bio

Ces 3 dernières années, j’ai découvert de super crèmes solaires bio dont je voudrais vous parler. Pas facile, comme on l’a vu, de trouver des filtres UV qui conviennent !

J’ai découvert récemment les produits de la marque Biosolis et je suis totalement conquise ! La crème visage SPF 30 laisse un fini velouté sur la peau sans aspect blanc, et leur huile solaire SPF 20 (sans dioxyde de titane) laisse même quelques paillettes pour un très joli effet doré au soleil ! Les produits sont véganes et fabriqués en Belgique.

J’avais également emmené deux filtres UV lors de mon voyage en Nouvelle Zélande l’année dernière. Je les avais choisis pour leur petit format pour qu’ils passent en cabine dans l’avion et je n’ai pas été déçue ! Deux crèmes solaires bio, garanties sans nanoparticules, inoffensives pour la faune et la flore aquatique, avec un indice UV suffisant et qui ne laissent pas d’énormes traces blanches : la crème SPF 50 de Alphanova Santé et le gel SPF 30 de UV Bio.

La première, fabriquée en Provence, est teintée, ce qui permet non seulement de ne pas ressembler à Mercredi Addams après application, mais en plus d’avoir un joli teint bronzé bien unifié. Elle permet aussi, et surtout, d’avoir une solution sans nanoparticules car la texture blanche et non-pénétrante est contrebalancée par cet aspect « fond-de-teint ».

La deuxième est labellisée végane et fabriquée en France, et garantie sans nanoparticules, sa texture gel orangé accentue la bonne mine des vacances. Ce côté hâlé que je trouve si chouette a toutefois un travers : ça tache ! Il faut veiller à frotter ses vêtements avec un peu de savon avant de les mettre à laver pour être sûr de les détacher correctement.

Edit : Bien des années après, mes marques fétiches sont Les Laboratoires de Biarritz (notamment leur crème teintée SPF 30) ou encore Acorelle. Oolution a également lancé des produits solaires avec un filtre végétal cette fois (ni chimique ni minéral), j’en parlais ici avec la fondatrice.

Je serais curieuse de savoir si vous avez de bonnes références à conseiller vous aussi ? Est-ce que cet article vous a été utile ?

***Céline***

[1] La vérité sur les cosmétiques

Les petits trésors du mois #13

favoris green

Le joli mois de mai vient de se terminer et j’en profite, comme d’habitude, pour venir vous faire un petit debrief et vous présenter mes petites découvertes ! C’est par le mois de mai l’année dernière que j’avais initié ce rendez-vous mensuel, et je n’ai pas loupé une seule date depuis !

Ce mois-ci a commencé par un déluge comparable aux moussons asiatiques, juste aux pieds du Colisée. Par des éclats de rire qui n’auront rien pu changer au fait que nous en sommes sortis trempés. Par de belles soirées florentines en terrasse à partager des spécialités locales et du bon vin de Toscane.

Un retour dans le Sud après belle lurette, les gourmandises de ma mère, les fleurs et le câlin de mon père. Du travail à n’en plus finir. Et de la pluie, et encore de la pluie.

Le mois de mai tire sa révérence, et l’albizia est bientôt fleuri. Les journées rallongent et semblent interminables. Les salades sont de plus en colorées. Tenez-vous prêts à accueillir les beaux jours, ils seront fugaces, comme chaque année !

Il y a un peu de tout dans ces trésors du mois de mai : de la beauté, un bijou, de l’alimentation, de la lecture, une série… Tout ce qu’il faut pour un mois de mai heureux ! J’espère que vous y ferez de belles découvertes ! En avant pour mes favoris green !

favoris green

L’huile végétale de baobab

J’ai été très surprise la première fois que j’ai entendu parler de l’huile végétale de baobab. Je ne savais pas que l’on extrayait un précieux nectar de ces arbres gigantesques et puissants. Encore moins que ce précieux nectar avait autant de vertus !

Moi qui étais une fervente utilisatrice de l’huile d’argan pour son action très nourrissante, j’ai trouvé là une adversaire redoutable… L’huile de baobab n’est pas nourrissante, elle est ultra-nourrissante ! Ma peau ne s’en lasse pas depuis qu’elle l’a rencontrée, et ma pauvre huile d’argan se voit reléguée au second rang. Je l’applique le soir avant de me coucher avec un peu d’hydrolat pour l’hydratation, et ma peau est toute douce et rebondie le lendemain matin ! Un vrai bonheur !

En plus d’être nourrissante, l’huile de baobab est connue pour son action anti-âge et regénérante. Grâce aux oméga-6 et oméga-9 qu’elle contient, elle nourrit la peau en profondeur et agit comme un film protecteur naturel. Cette huile miracle contient même des phytostérols en bon nombre, ce qui aide à la réparation des tissus abîmés !

Je l’ai évidemment choisie bio et extraite de manière éthique chez My Body My Oil, une super découverte !

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La bague Robin Paris

Je vous ai déjà présenté la jolie marque de bijoux ROBIN Paris pour laquelle j’avais eu un vrai coup de cœur il y a quelques mois. Cendrine, la créatrice, travaille ses collections dans son atelier parisien et se distingue par un argument de taille : elle utilise un or dont elle peut être fière ! Labellisé Fairmined, l’or est extrait par de petits exploitants rémunérés correctement et qui prélèvent les ressources de façon responsable.

J’ai craqué pour la bague Pola… Je la trouve à la fois si simple et si jolie ! Et puis elle a du sens : à elle seule, elle œuvre pour un monde meilleur. Si fine et délicate, elle attire pourtant tous les regards. Elle ne quitte plus mon doigt depuis que je l’y ai placée pour la première fois, j’en suis complètement amoureuse !

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Les algues en paillettes

Voilà une autre découverte qui va vous étonner : les algues en paillettes dans la salade ! Dès que les beaux jours reviennent et que les premiers légumes d’été refont surface au marché bio, nous nous en donnons à cœur joie en composant des salades de mille et une couleurs. Si lesdits légumes ne sont bien sûr pas encore tous arrivés, nous avons vu l’apparition des premiers poivrons et des premiers concombres !

Les possibilités de salades sont infinies (ou presque) en variant la base de céréales ou de légumineuses, les graines à saupoudrer dedans (lin, chia, tournesol, courge…) et les différentes huiles à notre disposition (n’oubliez pas d’ailleurs de privilégier le colza pour son super ratio oméga 3/oméga 6) ! Eh bien figurez-vous que l’on rajoute un ingrédient secret depuis quelques semaines : des algues nori en paillettes !

En plus d’apporter un goût très chouette à la salade (à la fois marin et sucré, ceux qui connaissent les makis japonais comprendront), l’algue nori est exceptionnellement riche en nutriments et en vitamines et minéraux de toute sorte. Franchement, pourquoi s’en priver ?

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Chef’s table

Et parce qu’on parle de plats délicieux, je me disais que je pourrais vous parler de la série documentaire que nous sommes en train de regarder en ce moment et qui vaut vraiment le détour. Chef’s table nous emmène découvrir les plus belles tables du monde et leur histoire.

Les images sont belles et contemplatives, le geste est magnifié et les aliments sont sublimés. Chaque épisode s’arrête sur le parcours d’un chef, sur sa passion, ses déboires, ses histoires d’amour, sur l’histoire de son restaurant, souvent étoilé. Les films sont d’une qualité remarquable et j’aime beaucoup me retrouver immergée dans ce milieu qui place la gastronomie comme un art.

On en retire aussi de belles leçons de vie. Ces chefs aujourd’hui au sommet ont souvent vécu des échecs cuisants par le passé et se sont relevés pour accomplir des merveilles de leurs dix doigts. À qui le tour ?

Pousse Pousse

Avant d’arriver dans votre belle assiette, les légumes viennent de petites graines semées dans le sol. J’ai découvert récemment une box super chouette pour les apprentis jardiniers : Pousse Pousse ! Chaque mois, s’achemine vers votre boîte aux lettres une box bien garnie avec des variétés de graines à semer, des jeunes plants prêts à mettre en terre, une variété de graines à faire germer, et tout un tas de petites surprises et d’ateliers autour du jardinage ! Tout est bio et de saison, et le but de la box est de permettre à ceux qui n’ont qu’un balcon ou qui désirent commencer petit avec leur jardin d’avoir tout le nécessaire et les infos qui vont avec ! Une vraie box ludique et sympathique dont le concept m’a tout de suite séduite !

C’est l’occasion pour ceux qui habitent en ville de remettre un peu les doigts dans la terre et de déguster des tomates cerises bien juteuses tout droit cueillies du balcon ! Ce n’est évidemment pas destiné aux experts du potager, je le comprends plutôt pour ceux qui ont envie d’apprendre et de découvrir en douceur le monde merveilleux de la pousse !

J’ai d’ailleurs un code promo à proposer à ceux qui voudraient sauter le pas : REDUCPORTPP (4€ de remise sur tous les abonnements Maxi pousse !)

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Le Petit Prince

Décidemment, le thème du baobab est récurrent ! Vous connaissez sûrement l’histoire du Petit Prince n’est-ce pas ? Ce jeune garçon qui habitait sur l’astéroïde B612 et qui faisait la chasse aux baobabs sur sa planète, avant de faire un petit tour dans l’univers et de visiter la Terre ?

J’avais lu Le Petit Prince comme lecture imposée à l’école primaire. Je n’avais rien compris. J’avais même trouvé ça naïf ! J’étais passée à côté du soi-disant chef-d’œuvre… Le superbe film d’animation du même nom, sorti au cinéma en 2015, avait cependant ressuscité mon intérêt. J’avais dû passer à côté de quelque chose, l’essence du livre avait dû m’échapper.

Et puis, pour répondre au challenge Iznowbook du mois dernier, j’ai choisi de le relire… Une claque, une vraie. Le livre ne s’adressait pas aux enfants (mais peut-être ma maîtresse de l’époque l’avait-elle lu trop tôt elle aussi ?), mais à l’enfant que l’on a un jour été. Il fallait avoir pris du recul et des années pour comprendre. Je n’arrive d’ailleurs toujours pas à m’expliquer comment un aussi petit volume arrive à exprimer autant de sagesse, de sens et de beauté.

J’encourage chacun d’entre vous à vous y plonger, j’espère qu’il vous bouleversera autant que moi. Je compte bien en faire un livre de chevet, je suis certaine qu’une seule lecture ne suffit pas à en percer tous les secrets !

Et vous, des découvertes à nous faire partager ce mois-ci ? Vous connaissiez déjà certains de mes petits trésors ?

*** Céline ***

Look éthique // Corail & Or

corail or look ethique

En voilà un titre annonciateur du printemps ! J’ai toujours aimé cette association, elle est douce et lumineuse. Ajoutez un début de bronzage et une vague odeur de monoï, et vous avez le panel complet. Corail et or…

Il me semble vous avoir déjà raconté à quel point j’aime l’été (oui oui, par ici). Eh bien j’adore aussi ses prémices. Les premières balades au coucher du soleil avec le gilet dans le sac, les randos, les glaces au bord des quais. L’effervescence qui commence dans les rues à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit, la nature en éveil et ses pissenlits-parachutes. J’aime cette attente de l’été, le monde se prépare à ralentir.

Personnellement, je change de parfum et de crème hydratante, je ressors les couleurs dans ma garde-robe, je change mes bijoux en argent pour mes bijoux dorés. Je suis plus efficace, plus énergique (moins en carence de vitamine D peut-être aussi…).

Les madeleines

Alors cet après-midi-là, on a décidé d’aller faire un tour pas trop loin de chez nous. Le soleil était revenu après une longue (looongue) période de grisaille épaisse, et on avait prévu d’aller manger une pizza. Et puis on est passés à côté d’un terrain de basket. Vert et assez petit, peu conventionnel, mais cela ne l’a pas empêché de me provoquer l’effet madeleines de Proust… Paf !

corail or look ethique

Mon papa aurait voulu avoir un basketteur dans la famille, ça n’a pas fonctionné. Je passais mes entraînements à me prendre des ballons dans le nez et à faire des sauts-de-chats. Je n’ai jamais aimé la compétition, et je n’ai jamais été très adroite (remarquez, j’ai travaillé mon adresse et fait beaucoup de progrès depuis). Première déception paternelle, mais il m’aimait quand même (vous vous rappelez ?).

Mais cette fois-là, j’ai été prise de l’irrépressible envie de dribbler et de tenter des tirs ! Le soleil déclinait et nous n’avions pas de ballon. Damned, il allait falloir faire face à cette frustration tout droit sortie du passé, presque 20 ans en arrière. 20 ans déjà !

Alors on a immortalisé ce petit terrain tout vert. On a remplacé le ballon par un coquelicot et mes baskets par des Panafrica (dont je vous parlais ici). Après tout, ça m’allait peut-être mieux.

Basketteuse éthique

Je portais fièrement les couleurs corail et or ce jour-là. Mon T-shirt Kipluzet en lin annonçait la couleur : certifié Oeko-Tex, il garantit que les étapes de tricotage et de teinture des tissus n’utilisent pas de substances toxiques pour la santé et l’environnement. Avec en prime une taxe carbone assez réduite : cultivé en France et en Belgique, filé en Pologne, puis assemblé et teint au Portugal. Et le tout à un prix juste ! Qui dit mieux ?

J’adore cette couleur en plus, elle relève tout de suite le teint. Effet bonne mine garanti ! Et puis il y a sa coupe : un peu ample et décolletée, et qui tombe bien long (possibilité de choisir entre 3 longueurs de T-shirts, je trouve ça génial) !

corail or look ethique

Pour ce qui concernait l’or, il était spécial lui aussi. Il venait du Salat, l’une des rivières les plus aurifères de France, dans les Pyrénées. Il avait suivi les courants, s’était frayé quelque chemin entre les flots et les truites, pour terminer dans les mains de Sandrine et de sa famille, venus là pour jouer aux chercheurs d’or. Sandrine est l’artisan-bijoutier derrière Aes Linea. Elle confectionne des bijoux qui racontent des histoires et de la façon la plus douce possible : argent recyclé ou refondu d’autres bijoux, pierres ramassées dans la terre, or des courants pyrénéens…

« J’ai un p’tit grain », c’est le nom qu’elle a donné à sa collection de bijoux aux grains d’or du Salat. La collection est éphémère, elle durera jusqu’à ce que toutes les paillettes d’or ramassées ce jour-là soient épuisées. Il ne faudrait pas trop prélever à la nature… Alors, comme l’or, j’ai fondu. Je trouve que c’est beau de partir en famille pour ramasser de l’or dans une rivière, et d’en faire des bijoux qui racontent quelque chose. Qui racontent un peu d’elle, et un peu des histoires perdues dans les courants.

Vous êtes en train de vous dire que ceci pourrait faire un joli cadeau de fête des mères hein ? Sandrine a eu la gentillesse de proposer un code promo pour l’occasion, donnant 5% de réduction sur ses collections : IZNOWGOOD5% !

corail or look ethique

corail or look ethique

corail or look ethique


T-shirt Kipluzet, lin certifié Oeko-Tex, 100% fabriqué en Europe ; Jupe La petite française (ancienne co), fabriquée en France ; Chaussures Panafrica, tissu équitable & vegan, fabriquées au Maroc ; Bague Robin Paris, or labellisé Fairmined, fabriquée à Paris (en savoir plus par ici) ; Collier, plaqué or, offert par ma grande sœur ; Sac Antik Batik (ancienne co), fabriqué à la main de façon éthique


corail or look ethique

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Look éthique // Féministe

look ethique feministe

J’entends beaucoup parler de féminisme en ce moment. Je ne sais pas si c’est parce que je grandis et que j’y suis de plus en plus sensible, ou que l’on en parle tout bonnement avec plus d’ampleur et de voix. J’ai grandi dans l’insouciance, à des années lumières de ce genre de questions. Ce n’était pas vraiment un sujet qui me concernait. Du moins, c’est ce que je pensais.

J’ai grandi avec l’image d’une mère et de deux grandes sœurs indépendantes et fortes. J’ai grandi entre deux petits-frères qui n’ont jamais été que mes égaux. Je n’ai pas eu à me battre pour le droit de vote (mais bon sang, c’était il y a si peu de temps…). J’ai rencontré très tôt un garçon pour qui mes différences n’étaient pas des « moins ». J’ai eu très tôt un métier à responsabilités avec des garçons à manager. J’ai eu de la chance, tant et si bien que le féminisme, ça ne résonnait pas en moi.

Chanceuse oui, mais pas épargnée pour autant. Ma hiérarchie était très majoritairement masculine. On me sifflait dans la rue sous prétexte que j’étais une femme, on me touchait même parfois. Je me sentais souvent moins capable, pour toute sorte de choses. J’avais intégré, malgré mon environnement privilégié, que j’étais « moins », j’avais intégré certains stéréotypes, certains comportements.

Et puis si le féminisme n’était qu’un combat autocentré, ça se saurait. Les inégalités, les violences, les stéréotypes aux airs innocents mais dévastateurs… Ce qui concerne les autres femmes me concerne aussi. Cette inégalité, comme les autres formes d’inégalités d’ailleurs, me concerne. Et, je crois, nous concerne tous.

look ethique feministe

Féministe

Je vous l’avais présenté dans une sélection de T-shirts à messages récemment, j’ai craqué pour celui-ci de We are Hairy People, Feminist. Je trouvais ça super que l’amoureux puisse le revendiquer fièrement, alors je lui ai commandé. Je me suis dit que ce serait une façon de lui dire qu’il était mieux que tous les autres, parce-que lui avait compris que si l’autre est différent il n’en est pas moins beau. Cela ne m’a pas empêchée de lui piquer régulièrement… J’aime trop ce T-shirt, j’aime le porter loose et beaucoup trop large.

Vous savez pourquoi je l’aime beaucoup ? Mis à part son message je veux dire. Premièrement, il est en coton bio. Deuxièmement, il a été fabriqué en Inde dans des conditions respectueuses de l’Homme et de l’environnement, dans une usine labellisée Fair Wear Foundation (l’un des meilleurs labels garantissant les conditions de travail des ouvriers textiles). Troisièmement, il a été fabriqué en utilisant seulement des énergies renouvelables (éolien et panneaux solaires). Quatrièmement, il a été peint à la main à Bristol… Oui, oui, peint à la main ! Cinquièmement, il est tout doux. Et je pourrais continuer longtemps ! Je crois que vous l’aurez compris, c’est un cadeau à partager…

Je vous présente aussi le jean Le Fuselé de 1083 ! En coton bio et entièrement réalisé en France, il reflète la démarche globale de cette jolie marque française dont je vous parlais ici. Sa taille haute permet de recadrer le T-shirt un peu trop large et de conserver une silhouette à peu près convenable ! Mon headband Hermanitas (que je vous présentais ici) complète le look. Il rajoute une touche de couleurs et permet de rendre l’ensemble peut-être un peu plus féminin.

Féminin vous avez dit ? Non, féministe.

*** Céline ***

look ethique feministe

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T-shirt “Feminist” We are hairy people, coton bio, fabriqué en Inde dans le respect de l’Homme et de l’environnement (label Fair Wear Foundation) et peint à la main à Bristol ; Jeans 1083, coton bio, 100% fabriqué en France ; Headband Hermanitas, fabriqué à Lyon ; Baskets Ethletic, coton bio et gomme durable, fabriqués en Asie de façon équitable ; Sac acheté dans une boutique d’occasion


look ethique feministe

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Lingerie : attention aux toxiques !

lingerie toxique

Jusqu’où va-t-elle aller ? Après avoir exhibé son ventre lors du défilé de mode éthique organisé la semaine dernière pour la Fashion Revolution, voilà qu’elle nous montre ses fesses ! Elle a pas froid aux yeux la p’tite dis donc !

Ne vous offusquez pas, j’ai une bonne raison pour poser en petite culotte dans l’article d’aujourd’hui. Cette culotte-là, elle me veut du bien : 100% coton bio certifié GOTS, des teintures labellisées Oeko-tex 100, fabriquée en Hongrie… Elle a de quoi vous épater ! Cette petite culotte de la marque Olly mérite bien que j’en dévoile un peu plus.

Un peu plus sur les toxiques présents dans les tissus conventionnels, un peu plus sur les risques potentiels qu’ils font courir sur notre santé, un peu plus sur les alternatives qui existent aujourd’hui ! Nous portons des culottes depuis notre plus tendre enfance, pourtant nous ne nous sommes jamais vraiment demandé ce que cela impliquait. Nous les avons toujours choisies pour leurs dentelles ou leurs imprimés, mais jamais sur un critère de non-toxicité. Et pourtant…

À qui avons-nous affaire ?

Les petites culottes bien pliées (comment ça, non ?) dans votre tiroir sont en général soit en coton, soit en matières synthétiques (polyamide et élasthanne bien souvent).

Le coton non bio, récolté bien souvent dans des conditions inhumaines en Asie, a aussi des conséquences désastreuses sur l’environnement. Et pour cause : il nécessite 25% des pesticides mondiaux bien qu’il n’occupe que 2,5% des terres agricoles de la planète ! Ces pesticides utilisés dans des proportions massives s’infiltrent dans les eaux, engendrant de nombreuses maladies chez les populations locales et empoisonnant les sols qui deviennent impropres pour l’agriculture.

Les matières synthétiques sont quant à elles issues de l’industrie pétrochimique. Leur fabrication résulte de l’utilisation de nombreuses substances chimiques, dont certains composés perfluorés ou polyfluorés (PFC), connus comme cancérigènes et perturbateurs endocriniens pouvant affecter le système reproductif humain.

À tout cela se rajoutent les procédés de teinture des tissus qui impliquent souvent l’utilisation de métaux lourds, comme le plomb par exemple. Ou encore les agents blanchissants, les produits de finition, et bien d’autres substances toxiques rentrant dans la chaîne de fabrication de votre fameuse petite culotte bien pliée dans le tiroir.

Phtalates (perturbateurs endocriniens, cancérogènes), formaldéhydes (cancérogènes), éthoxylates de nonylphénol (perturbateurs endocriniens, soupçonnés d’avoir un impact sur la fertilité humaine), nanoparticules… Il y en a du monde ! Et il nous colle à la peau…

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Que faut-il privilégier ?

Imaginez tout ce petit monde dans votre culotte, bien au chaud et tout serré contre vous. Les frottements et la chaleur lui confèrent des conditions bien particulières, propices au transfert potentiel de molécules toxiques par notre peau ou nos muqueuses. La zone protégée par ce bout de tissu en apparence inoffensif est en fait une zone extrêmement fragile et sensible qui, grâce aux muqueuses, représente un vrai portail sur l’extérieur.

Comme dit plus haut, il est possible de choisir sa lingerie sur des critères de non-toxicité (voire d’écoresponsabilité et d’éthique). Certains labels garantissent que votre culotte est exempte de toute substance toxique, c’est vers eux qu’il faudrait se tourner :

  • Le coton bio certifié GOTS : Le coton bio est garanti sans pesticide et requiert en outre moins d’eau que son comparse (60% moins gourmand en eau en moyenne). Le référentiel GOTS prend en compte toutes les étapes de la chaîne de transformation du tissu en partant de la fibre brute qui doit être issue de l’agriculture biologique et en garantissant le respect de critères environnementaux et sociaux stricts tout le reste du processus.
  • Le label Oeko-tex 100 : ce label permet de certifier la non-toxicité des textiles et/ou des teintures et colorants utilisés. Lorsqu’il certifie le textile, il garantit qu’aucune substance toxique n’est intervenue dans la chaîne de fabrication du tissu. Ce label peut être utilisé pour les tissus qui ne sont pas labellisés GOTS et se retrouve aussi souvent pour la labellisation de la non-toxicité des teintures. Il est possible de les retrouver cumulés (chez Olly par exemple).

Une fois qu’on sait, à nous de choisir en conscience et en fonction de ce qu’il nous est possible de faire. Faire mieux demande toujours des coûts de revient plus élevés pour les marques, qui se répercutent sur le prix final proposé aux consommateurs.

Pourquoi ne pas essayer de renouveler petit à petit son stock de sous-vêtements, culotte par culotte ? Moi c’est ce que j’ai commencé à faire !

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Les alternatives

Il y a de jolies marques qui se lancent dans la belle aventure de la culotte non-toxique ! Je vous propose un rapide tour d’horizon des marques qui m’ont tapé dans l’œil et qui pourront peut-être initier le changement chez vous !

Du côté des culottes en coton bio : Olly (sur mes fesses ici présentes) fait de jolis modèles féminins ; Organic Basics qui fait d’excellents basiques confortables en coton bio à des prix très raisonnables ; Peau Ethique dont je vous parlais ici et qui propose des prix plutôt abordables ; Pop’line avec de très jolis modèles en dentelle ; Underprotection avec tout plein de modèles en coton bio, tencel ou polyester recyclé ; Pact pour des sous-vêtements basiques et confortables.

Du côté des culottes Oeko-tex : Esquisse lingerie propose de jolis modèles fleuris et féminins ; Snuggerz propose des sous-vêtements un peu sport aux jolis imprimés.

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Je sais que l’on peut aussi trouver des sous-vêtements en coton bio chez Monoprix, Dim ou H&M. Je ne me prononce évidemment pas sur leurs conditions de fabrication, mais cela peut-être un point de départ pour des petits budgets. Pour les fans de Princesse Tamtam (je sais qu’il y en a parmi vous), ils viennent de lancer une collection labellisée Oeko-tex.

EDIT : J’ai un code promo de 10% sur les commandes Olly avec le code IZNOWGOOD si ça vous intéresse (valable jusqu’au 13 mai) !

Aviez-vous déjà envisagé vos petites culottes comme potentiellement toxiques ? Est-ce que vous avez commencé un quelconque changement ?

*** Céline ***

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